LE FORUM
Administrateurs : niko, poissy.vtt.is
 
 LE FORUM  ANCIENS POST 

 Samedi 31 mai/Dimanche 1er juin

Nouveau sujet
 
Bas de pagePages : 1  
Meuceumeu
Une valeur sûre...
Administrateur
Meuceumeu
2790 messages postés
   Posté le 20-05-2008 à 09:13:03   Voir le profil de Meuceumeu (Offline)   Envoyer un message privé à Meuceumeu   

Salut !

Je vis un dilemme : samedi 31, j'avais repéré les 4 (?) heures de Carrières sur Seine qui me tentait bien, en semi-nocturne. Or, ce même jour, j'ai un enterrement de vie de garçon qui risque de se prolonger assez tard, en tout cas bien après 18h00, départ de la course.

A ceux qui l'ont déjà faite, il me semble qu'il y en a, cela vaut-il el coup que je m'escrime à trouver un moyen de tout concilier, ou bien cela n'en vaut-il pas la peine ?

Et question à tiroir : si ça vaut le coup et que j'arrive à m'arranger, qui veut s'inscrire avec moi ?

--------------------
Hauts les coeurs!
LOUIS XIV
même pas mal...
Membre
LOUIS XIV
2625 messages postés
   Posté le 20-05-2008 à 09:34:49   Voir le profil de LOUIS XIV (Offline)   Envoyer un message privé à LOUIS XIV   

Brice et moi l'avons fait il y deux ans.
C'est sympa si ce n'est la descente d'une série de marches un peu "too much". L'année où nous l'avons fait il y avait 2 concurrents qui desendaient cette longue série de marches sur lé vélo, dont... votre serviteur, qui croyait que tout le monde restait sur le vélo.
Résultat, en plus de la grosse trouille que je me suis fait à chaque descente, j'ai cassé mon derailleur au 3° tour... Brice a donc fait une heure et demi à deux heures tout seul... (Quand j'ai cassé nous étions 1° dans notre catégorie)
Bourricot
Membre
Bourricot
3013 messages postés
   Posté le 21-05-2008 à 23:27:38   Voir le profil de Bourricot (Offline)   Envoyer un message privé à Bourricot   

Bon, je pense que je ferai du bitume, ce WE-là .

Au choix :

samedi 31 : le tour du Sancy. ( 160 km approx de moyenne montagne ) J'irais bien , mais pas tout seul ... C'est le samedi, on peut s'arracher du taf vers 18H, une nuit à l'hotel des Volcans le vendredi soir, une belle compet route ( peut - être la dernière fois où il sera possible de monter le Puy de Dome en compet ' ... ) et on est chez nous le samedi fin d'aprèm pour glander en famille tout le dimanche...

Si ya des motivés pour y aller, je peux aussi envisager une journée RTT vendredi 30 mai et une pause "tournage de guiboles" le vendredi midi dans les gorges de la Sioule ( 50 km au nord de Clermont ) .

Sinon, si personne ne veut aller en Auvergne, ya aussi une compet en ligne ( 110 km ) Ufolep sur route le dimanche 1 er juin aux Clayes.


Edité le 21-05-2008 à 23:30:02 par Bourricot




--------------------
Asinus ad lapidem non bis offendit eundem
ROADRUNNER
Bip-Bip
Membre
ROADRUNNER
326 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 19:33:22   Voir le profil de ROADRUNNER (Offline)   Envoyer un message privé à ROADRUNNER   

Sinon il y a LA GARENNOISE

j'y serais surement

la dernière en date 2006 m'avais laissée un bon souvenir


http://www.aktiss.com/aosmg/Recto.pdf

--------------------
DD
LOUIS XIV
même pas mal...
Membre
LOUIS XIV
2625 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 20:21:50   Voir le profil de LOUIS XIV (Offline)   Envoyer un message privé à LOUIS XIV   

Si tu y vas le 1 juin j'espère pour toi qu'ils n'auront pas débalisé.... parce que la Garennoise, si je ne m'abuse, c'est dimanche 25
Lolo Berlingo
Généreux dans l'effort
Membre
Lolo Berlingo
1554 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 20:41:21   Voir le profil de Lolo Berlingo (Offline)   Envoyer un message privé à Lolo Berlingo   

Bourricot a écrit :

Bon, je pense que je ferai du bitume, ce WE-là .

Au choix :

samedi 31 : le tour du Sancy. ( 160 km approx de moyenne montagne ) J'irais bien , mais pas tout seul ... C'est le samedi, on peut s'arracher du taf vers 18H, une nuit à l'hotel des Volcans le vendredi soir, une belle compet route ( peut - être la dernière fois où il sera possible de monter le Puy de Dome en compet ' ... ) et on est chez nous le samedi fin d'aprèm pour glander en famille tout le dimanche...

Si ya des motivés pour y aller, je peux aussi envisager une journée RTT vendredi 30 mai et une pause "tournage de guiboles" le vendredi midi dans les gorges de la Sioule ( 50 km au nord de Clermont ) .

Sinon, si personne ne veut aller en Auvergne, ya aussi une compet en ligne ( 110 km ) Ufolep sur route le dimanche 1 er juin aux Clayes.


J'avais vu aussi cette course ufolep aux Clayes. C'est là que j'irais ce we car le Sancy est impossible pour moi
LOUIS XIV
même pas mal...
Membre
LOUIS XIV
2625 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 20:44:31   Voir le profil de LOUIS XIV (Offline)   Envoyer un message privé à LOUIS XIV   

On avait raison tous les deux mon bourricot, c'était bien le PUY de DOME, c'était bien "Poulidor et Anquetil" et nous n'étions pas nés (Juillet 1964). Dis marcus, tu veux bien nous raconter, parce que moi je n'étais encore qu'un embryon en Juillet 1964....

http://borghesio.typepad.fr/.shared/image.html?/photos/uncategorized/2007/08/03/gpoulidor_anquetil2.jpg

En tous les cas, qu'elle image, j'aurais bien vu la même ave 2 maillots de POISSY...


Edité le 22-05-2008 à 20:45:00 par LOUIS XIV


ROADRUNNER
Bip-Bip
Membre
ROADRUNNER
326 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 21:36:16   Voir le profil de ROADRUNNER (Offline)   Envoyer un message privé à ROADRUNNER   

[citation ]

[Sinon il y a LA GARENNOISE

j'y serais surement

la dernière en date 2006 m'avais laissée un bon souvenir


http://www.aktiss.com/aosmg/Recto.pdf]


OUPS

je crois que j'ai merdé

en fait c'est ce week end (25 /05)

--------------------
DD
Bourricot
Membre
Bourricot
3013 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 21:55:54   Voir le profil de Bourricot (Offline)   Envoyer un message privé à Bourricot   

Je cite Michel Crepel, qui reste plus factuel que Blondin, mais qui me file quand même des frissons quand je le lis :

Tour de France 1964 : le duel Poulidor-Anquetil

En 1964, le Tour de France est marqué par un duel épique entre le Normand Jacques Anquetil et le Limougeaud Raymond Poulidor.

Les joutes fraternelles, en cyclisme, ont de tous temps généré la légende de notre sport. Elles ont sublimé les protagonistes et sensibilisé les nations concernées jusqu'à la démesure voire l'hystérie. La communauté méridionale regorge de ces duels pas toujours fratricides, mais toujours respectueux de l'étique. A ce titre, on pourrait même avancer sans risque de blasphémer que l'Italie appartient à la mère patrie des duettistes impénitents. De Costente Girardengo-Alfredo Binda à Ivan Basso-Damiano Cunego, dans un futur proche, en passant par Fausto Coppi-Gino Bartali, Felice Gimondi-Gianni Motta, Cecco Moser-Beppe Sarroni, Gianni Bugno-Claudio Chiappucci ou Michele Bartoli-Paolo Bettini, pour ne citer que les "couples" les plus harmonieux, la péninsule exerce de par un tempérament latin exacerbé une attirance sans borne pour les frasques et guéguerres conviviales de ses duos de gladiateurs sur cycle. Elle n'est toutefois pas orpheline de ce genre de manifestations trublionnes qui divisent les peuples. En effet, la Suisse des légendaires Ferdy Kubler-Hugo Koblet, ou plus récemment des Tony Rominger-Alex Zülle, a tenu en haleine deux générations d'Helvètes pourtant peu aptes à extérioriser leurs liesses communicatives.

La Belgique a dû également, en son temps, faire face à ces combats de chefs qui encensent les égos d'irréductibles supporters, passionnés à l'extrême. Ainsi, Eddy Merckx, malgré un cheminement des plus linéaires, a dû souquer ferme, parfois, pour mettre à la raison des rebelles tels Walter Godefroot, Roger De Vlaeminck et Freddy Maertens. Toutefois, outre-Quiévrain, jamais duel n'aura été aussi épique et aussi acharné que celui que se livrèrent au terme des années 50 les deux Rik. L'anachronisme de la situation jette le trouble sur un tel engouement. En effet, Rik Van Steenbergen et Rik Van Looy n'ont été opposés que relativement peu souvent. Si l'un, Rik 1er, se situait au crépuscule d'une carrière riche en exploits légendaires, l'autre, l'Empereur d'Herentals, à l'inverse, n'en était qu'à l'aube. En fait, il n'y eut que deux à trois saisons de luttes communes, réellement acharnées. L'antagonisme hallucinant des deux hommes et de leurs tifosi vient essentiellement dans la quête du cadet des Rik à surpasser son aîné par le biais de la richesse du palmarès.

La fureur de Van Looy, lors de l'inénarrable trahison de Renaix en 1963, en est l'exemple le plus symbolique. Ce 11 août, sous un déluge d'eau et de vent, l'Empereur d'Herentals est à une portée de fusil du Colosse d'Arendonk au palmarès des Championnats du Monde. Devant une foule hilare, toute acquise à l'enfant du pays, le brave porteur d'eau Benoni Beheyt emmène comme à ses plus jours l'emballage final. Le présomptueux membre de la sélection royale belge apparaît néanmoins, et à ce moment précis, un tantinet zélé. En effet, le félon s'aperçut soudain qu'il pouvait, lui le sans-grade, prétendre aux gloires de l'irisé à défaut des gratitudes hypocrites du boss. Et c'est dans un brouhaha assourdissant et une bronca sans nom d'aficionados désenchantés que Benoni devint champion du monde, au grand désarroi d'un Rik Van Looy ivre de colère. L'impétueux leader de la "Garde Rouge" s'ingéniera dès lors à rendre le palmarès de l'infortuné, vierge de toutes épreuves d'envergure. Et chez nous ?

En France, et même si le Blaireau eut maille à partir avec l'Intello, à un moment, certes, de profondes désillusions physiques, ses duels les plus épiques et les plus drastiques ont été surtout dû à l'éclosion puis à l'essor du plus Français des Américains, Greg LeMond, initialement son propre partenaire de jeu. En revanche, l'imbrication du peuple de France et de Navarre au sein de la carrière, de l'existence même, nantie d'innombrables turpitudes de nos glorieux aînés Jacques Anquetil et Raymond Poulidor, demeurera à jamais l'icône immuable de la guerre des clans. Les situations opposant les deux champions sont légions et ce ne serait faire offense au Limougeaud que d'avouer son incapacité chronique et légendaire à contrecarrer les desseins de suprématie du Normand, plus habile tacticien. Ce 6 juillet 1964, et après une journée de repos en Andorre, le peloton va s'accorder quelques sulfureuses parties de manivelles en direction de Pau. Bien que seuls, les 2400 mètres du Port d'Envalira ne viendront tarauder les esprits chagrins, tout un chacun sait par expérience que les lendemains de fêtes peuvent être sources de maux beaucoup plus rédhibitoires qu'une ascension, fusse-t-elle abrupte et piégeuse.

Maîtres Jacques, coutumier d'excès en tout genre lors de ces étapes de farniente, s'est une nouvelle fois "vautré" lamentablement dans la dégustation d'un méchoui offert gracieusement par Radio Andorre, au grand dam d'un Raphaël Geminiani qui avait préconisé, lui, un entraînement foncier susceptible d'effacer les efforts consentis depuis le départ de Rennes. L'invétéré apôtre d'Epicure se retrouvera bientôt devant un dilemme insolvable. Dès le début d'étape, celui-ci se matérialisa sous la forme d'une coalition de féroces prédateurs. Jamais ô grand jamais, ils n'allaient relâcher leur étreinte. Anquetil est alors l'objet de tirs nourris dont l'estocade est portée par l'Aigle de Tolède. Federico Bahamontès, le fier ibère, s'arrache accompagné de Poupou, Julio Jimeñez et Henri Anglade. Le Normand, désemparé, ne peut esquisser la moindre attitude de rébellion. Il est planté là, au beau milieu de la chaussée. Pire, il sent monter en lui la défaillance, l'inexorable coup de pompe. Ce Rabelaisien de vocation semble vomir son méchoui englouti la veille, tant son faciès apparaît, aux yeux effarés des suiveurs, congestionné. Le Grand Fusil, dont le débit linguistique dans la colère n'a d'égal que la jovialité engendrée lors de discussions à bâtons rompus au coin du feu, monte à hauteur de son coureur, peu avant le sommet, et le vilipende vertement tout en lui tendant un bidon de Champagne. "Ou ça le crève, ou il s'envole", lance-t-il à la volée !

A quatre minutes du Picador et de Poupou, au somment, Maître Jacques est en train de rendre les armes et de perdre le Tour 64. La bascule opérée, le recordman des Nations fond dans la descente tel un voltigeur. Malgré la brume dense et la chaussée glissante, il fend l'air couché sur sa frêle esquif. "Ca passe ou ça casse", maugrée le funambule en perdition. Dans la vallée, Anquetil, auteur d'un retour fracassant, reprend Georges Groussard, Vittorio Adorni, Henry Anglade et le Maillot Vert Jan Janssen. Se positionnant résolument en tête du petit groupe, requinqué comme jamais, Anquetil se lance alors à la poursuite du duo hispano-français. En moins de 10 bornes, il peut déjà apercevoir la grande carcasse dégingandée de l'Homme de la Mancha, qu'il rejoindra, ainsi que Poulidor, quelques hectomètres plus avant. La chance sourit de nouveau au Normand. Elle est insolente, même, en cette fin de journée. A 25 kilomètres de Toulouse, le coureur de Saint-Léonard-de-Noblat, victime d'un bris de rayons, doit se résoudre à attendre Tonin pour changer de monture. Antonin Magne, tout aussi expressif dans la gestuelle que son homologue et compère Gem, pousse des plus énergiquement le Limousin afin de le relancer. Le directeur sportif des Mercier est tellement assidu à la manœuvre que notre Poupou national chute tête bêche sur le macadam. Le temps pour notre bonhomme de reprendre ses esprits et le groupe Anquetil n'est plus qu'un lointain souvenir. Comble de désagréments, les voitures suiveuses qui, d'ordinaire, précèdent les coureurs en difficulté, se retrouvent bizarrement derrière le poursuivant. Le spectacle captivant de cette étape sera invoqué pour expliquer la raison pour laquelle Poulidor n'a pu, à loisir, profiter de l'abri nécessaire à un éventuel et hypothétique retour vers l'avant de la course. Raymond Poulidor, dépité et aigri plus qu'éreinté, franchira la ligne 2'36" derrière Jacques Anquetil. Tout était à refaire !

Mais Poulidor était un guerrier et un attaquant hors norme et le lendemain, il triomphera à Luchon, tel un seigneur, et récupérera une partie du retard accumulé la veille. Ensuite, tout le monde garde en mémoire l'étape d'anthologie qui s'est déroulée un 12 juillet 1964, sur les pentes surchauffées du Puy de Dôme. Cet épisode dantesque devrait figurer en bonne place dans les livres d'Histoire de nos chers têtes blondes au même titre que la Guerre des religions, par exemple. Enfin, il dut subir par deux fois la loi de son adversaire normand lors des deux contre-la-montre de Bayonne puis de Paris, le dernier jour. Pour l'antépénultième fois, Poupou subissait la loi implacable et démoniaque de l'incontournable Maître Jacques, mais sachez néanmoins que jamais, non, jamais, il ne rendra les armes ni ne s'avouera vaincu !

Michel Crepel


C'est beau, le vélo.


Edité le 22-05-2008 à 22:05:43 par Bourricot




--------------------
Asinus ad lapidem non bis offendit eundem
LOUIS XIV
même pas mal...
Membre
LOUIS XIV
2625 messages postés
   Posté le 22-05-2008 à 22:12:18   Voir le profil de LOUIS XIV (Offline)   Envoyer un message privé à LOUIS XIV   

Putain !
Tu remplaces Le Puy de Dome 1964 par Marines 2008 et ça le fait... presque !
y'a même la photo



Edité le 22-05-2008 à 22:13:11 par LOUIS XIV


Pepito
Membre
Pepito
1460 messages postés
   Posté le 23-05-2008 à 09:49:06   Voir le profil de Pepito (Offline)   Envoyer un message privé à Pepito   

Je participerai bien à la semi nocturne de Houilles Carrières...... avec Niko si il est remis de sa cheville. .......????

et pourquoi pas une sortie route tranquilou bilou le lendemain matin???? au départ de la mairie.....
Haut de pagePages : 1  
 
 LE FORUM  ANCIENS POST  Samedi 31 mai/Dimanche 1er juinNouveau sujet
 
Identification rapide :         
 
Divers
Imprimer ce sujet
Aller à :   
 
 
créer forum